Simon est laid, mais il est déterminé à être tout le reste pour Sophie. Parce que quand on aime on ne compte pas : ni les efforts, ni les remords.
« Mon cerveau enregistrait tout ce qu’il pouvait pour l’intéresser, la captiver, la stimuler. La surprendre aussi. Je n’ai jamais réussi à vraiment avoir de l’humour, à livrer un punch avec succès, mauvais timing, mais je parvenais à la faire rire assez régulièrement. Pas avec naturel, pas avec aisance, mais avec technique et ma grande habileté à mémoriser des tonnes de choses et, surtout, à faire des liens. Jamais les méthodes scientifiques n’auront été appliquées au domaine de l’amour avec autant de discipline. J’étais l'Edison de l’esprit, le Pasteur de la tendresse et le Tesla de la sexualité ! »